Depuis le 1er janvier 2011, les annonces de vente ou de location d’un bien immobilier doivent mentionner l’ étiquette énergie attribuée à l’issue du diagnostic de performance énergétique (DPE).
Cette consommation est classée de A (le moins énergivore) à G (le plus énergivore).
L’impact de l’étiquette énergie commence à se faire sentir :
- sur les marchés immobiliers où l’offre est supérieure à la demande,
- sur les primo accédants qui peuvent prétendre à un prêt à taux zéro (PTZ +) majoré lorsqu’ils achètent un bâtiment basse consommation (BBC).
Sur les marchés de pénurie, comme Paris, les centres-villes des métropoles régionales ou les lieux de villégiature réputés, un mauvais classement n’a, aujourd’hui, pas d’incidence sur le prix.
Source : Le Particulier n° 1060
Cette consommation est classée de A (le moins énergivore) à G (le plus énergivore).
L’impact de l’étiquette énergie commence à se faire sentir :
- sur les marchés immobiliers où l’offre est supérieure à la demande,
- sur les primo accédants qui peuvent prétendre à un prêt à taux zéro (PTZ +) majoré lorsqu’ils achètent un bâtiment basse consommation (BBC).
Source : Le Particulier n° 1060